Pomme se prépare à combattre un 500 millions d’euros (570 millions de dollars) Fine imposée par la Commission européenne pour violer le Loi sur les marchés numériques (DMA)faisant valoir qu’il a fait des efforts répétés en 2024 pour se conformer mais n’a reçu que peu de conseils des régulateurs. La société affirme avoir proposé des changements et demandé des commentaires tout au long de l’année, mais la commission est restée largement insensible.

Selon la correspondance interne révisé Par Politico, Apple a proposé de détendre ses règles de l’App Store l’été dernier, y compris la façon dont les développeurs communiquent avec les utilisateurs. Mais au lieu de conseils, la commission aurait dit à Apple d’attendre les commentaires de tiers. Au moment où la rétroaction est venue, en grande partie de critiques comme Spotify et Epic Games – les dirigeants de l’application s’étaient craignants que la commission se dirigeait déjà vers une amende.

En octobre 2024, Apple a envoyé une lettre à des hauts responsables de la Commission déclarant que les équipes de cas avaient indiqué que le communiqué alors le communiqué Margrethe Vestager avait l’intention de rendre une décision avec une «amende potentiellement significative». L’amende est arrivée en mars 2025, tenant Apple responsable de son traitement des communications des développeurs et rejetant tout remède post-hoc.

La commission tient ferme, Apple pleure une faute

La Commission a défendu son processus. Le porte-parole Lea Zuber a déclaré que cela appartenait aux «gardiens» comme Apple pour garantir leur conformité et que la commission était claire lorsque les propositions d’Apple ont échoué. Elle a également précisé que l’amende abordait la solution implémentée d’Apple, pas des propositions sur lesquelles il n’avait pas agi.

Apple soutient que la commission a changé les attentes sans direction claire. « Malgré d’innombrables réunions, la Commission continue de déplacer les postes d’objectif à chaque étape », a déclaré la porte-parole d’Apple, Emma Wilson. La société prétend avoir investi massivement dans la conformité, mais n’a pas vu peu de reconnaissance de cet effort.

L’attrait d’Apple pourrait avoir des implications plus larges. Les experts juridiques affirment que l’affaire peut tester la responsabilité de la commission de s’engager dans le dialogue en vertu de la DMA, qui a été conçue comme un cadre coopératif. Le résultat pourrait définir comment les futures mesures d’application de la loi sont traitées, en particulier dans les situations où les entreprises affirment avoir tenté de se conformer de bonne foi.

Les comparaisons avec Meta alimentent déjà le débat. Le propriétaire de Facebook a également fait face à une enquête sans conformité, mais a déployé des changements à la fin de 2024, ce qui a contribué à réduire sa pénalité à 200 millions d’euros. Apple a retardé ses modifications proposées, espérant des commentaires qui ne sont jamais venus.

Comme indiqué par PoliticoL’appel d’Apple est susceptible d’atterrir avant les courts de l’UE au Luxembourg. L’affaire pourrait clarifier si la position de la «porte ouverte» de la Commission nécessite plus que la disponibilité passive et si les entreprises devraient s’attendre à un engagement plus structuré lors de la procédure d’application.



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