Apple a dépassé tous les studios rivaux pour verrouiller F1: le film de Brad Pitt, en payant environ 130 à 140 millions de dollars en 2022 juste pour le package des droits, puis en buansant un budget de production estimé de 200 à 250 millions de dollars, le plus riche dépense unique de la brève histoire de l’Apple original Films.

Warner Bros. gère le déploiement théâtral sous un partenariat 2024 qui laisse Apple à tenir les clés de la fenêtre de streaming Apple TV + éventuelle, donnant à la société une photo rare au box-office et aux revenus d’abonné en un seul dépassement.

Les enjeux sont élevés parce qu’Apple a largement formé les téléspectateurs à s’attendre à des débuts en streaming de jour; F1 est le premier film depuis Napoléon qui, selon lui, doit être vu sur un écran IMAX avant d’atterrir sur un canapé. Le marketing a été tout aussi semblable à une pappie: aux côtés des spots télévisés traditionnels, la société a poussé une bande-annonce haptique qui fait vibrer les iPhones en synchronisation avec des moteurs à randonnée, transformant le film lui-même en une démo en direct de matériel Apple.

Les premiers avis suggèrent que le pari peut porter ses fruits

Les embargos des critiques se sont levés hier, et F1 a ouvert avec un score «frais» de 83% de 52 revues sur Rotten Tomatoes, des éloges centrés sur les images pratiques de la course de Joseph Kosinski et le charme de Pitt World Warm. Collider l’appelle «une explosion absolue», tandis que Pierre de rouleau Dit qu’il «reprend ce que les blockbusters se sentaient.» C’est exactement le positionnement de la pomme espérée quand il a versé de l’argent dans le tournage sur la piste pendant les vrais week-ends du Grand Prix.

Les trackers de l’industrie prévoient un week-end d’ouverture américain de 35 à 40 millions de dollars, en bonne santé pour un drame sportif et suffisamment pour garder Apple au rythme pour le seuil de rentabilité une fois que les reçus à l’étranger et la dernière bosse de streaming sont comptés.

Que le film devienne finalement un démarreur de franchise ou un seul-off cher, les deux prochaines semaines montrent si Apple peut convertir une somptueuse vitrine théâtrale en le type de moment culturel qui conduit à la fois les ventes de billets et les abonnements Apple TV +. Si la finition au box-office correspond à la vitesse critique précoce, le projet hollywoodien le plus audacieux d’Apple aura encore dégagé son premier coin sans une roue qui borde.



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